Les risques exogènes évoqués depuis le début d’année se matérialisent dans les données macroéconomiques et contraignent les principales banques centrales à adapter leur politique monétaire.
Les marchés ont accusé des baisses inédites en octobre. Les investisseurs affichent une attitude clairement averse au risque. Pourtant, les signes qui préfigurent la fin du cycle manquent à l’appel...
Les indices terminent le 3ème trimestre 2018 à des niveaux proches de ceux de fin juin. On constate néanmoins un écart de performance significatif entre les États-Unis et l’Europe.
Le mois d’août a été marqué par l’effondrement des devises émergentes, particulièrement la livre turque, et la poursuite de la baisse des marchés émergents. Le marché européen est resté assez incertain.
En mai, la crise politique italienne a relégué au second plan les autres évènements macroéconomiques et géopolitiques. Les victimes du populisme continuent de se multiplier des deux côtés de l’Atlantique, en passant par certains pays en voie de développement. L’Italie est le dernier pays majeur à intégrer cette liste.